Mardi 10 octobre
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Valentin était le frère germain de Roman. Calme, modeste, même quelque cloué, est éternel avec la tête sale et à netchichtchenykh les souliers. Avec Roman il avait des relations complexes.
Autrefois il y a longtemps ils comme ne partageraient pas la jeune fille. Roman vivait dans l'appartement resté lui avec le frère après la mort des parents, travaillait le mécanicien sur la
fabrique de confection et, malgré le fait qu'il soit entouré constamment des jeunes filles, ne pouvait aucunement se décider aux relations sérieuses. C'est pourquoi il devait le plus se faire la
lessive, préparer la nourriture, nettoyer l'appartement. Avec l'argent il ne savait pas du tout s'adresser et quand recevait le salaire, la dépensait dans les premiers jours, pour l'essentiel sur
la nourriture, après quoi restait sans argent, ne sortait nulle part de la maison les soirs et jusqu'au matin pouvait rester après l'ordinateur dans Internet. Malgré cela que Roman non octroyait
beaucoup du frère, il l'aidait en tout cas par l'argent, a acheté l'ordinateur, en comprenant que seulement pourra aider ainsi Valentin embellir sa solitude et la précarité. Mais Zina comprenait
que Roman s'affranchissait quoi que du frère, pourvu qu'encore une fois ne pas se rencontrer, ne pas faire semblant que chez eux les belles relations de parenté. Quand Valentin venait quand même
à ceux-ci à la maison, Zina tâchait de nourrir le parent et lui donnait toujours avec lui-même la nourriture, recueillait les sacs entiers de la provision : les pommes de terre, solen'ya, les
conserves, les pâtés. Autrefois il ne lui téléphonait jamais, apparaissait dans leur maison sans prévention ou en accord avec Roman.– Entrez, la pluie par quel fait tomber! Mais c'est bon, j'aime
la pluie. Chez moi le four pychet, chaudement, entrez. Vous ne s'excusez pas que m'ont réveillé, vous de j'alors, la nuit, du tout et n'avez pas réveillé, chez moi l'insomnie était tout juste, je
la télé regardais, pendant la nuit tous les feuilletons répètent, quel je n'ai pas le temps de regarder le jour. À moi une joie – le cinéma oui manger. Vous ne regardez pas que je tel pauvre,
mange je j'aime manger beaucoup et en général.– Connaissez, il me suffit de jeter un coup d'oeil sur le travail de Rity, comme j'ai compris à la fois, qui vous, – a dit Ksenia Illarionovna. –
vous – son choix, et en outre, à mon avis, assez réussi. Chez vous tels yeux extraordinaires, et ce regard … Il est probable, tout vous demandent constamment, paternel vous êtes tristes ainsi, et
vous vous êtes fatigués de répondre déjà que chez vous une simplement telle structure de la personne, j'ai deviné ? Human chair facesitting sore after anal sex indian sex.
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